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Histoire sans nom ni fin...

Photo de Toldamel

Toldamel

Description :

Laisse toi guider par la plume du hasard, ici ni début, ni fin, juste une histoire...

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Mais kesako????

Alala...cher internaute, cher visiteur, cher curieux...ou qui que tu sois finalement, sur quel blog es-tu encore tombé??Encore un blog narcissique prétentieux et nombriliste? Surement pas!Un blog pour le moins excentrique? Pourquoi pas?un blog attrayant de par son originalité?...nous l'espérons. Ici, un maitre mot : le hasard. Te sens tu pret à t'y soumettre totalement?...
Règle du jeu:
2
auteurs: Tolda & Amel. Une fois qu'aune des deux aura choisi d'arréter son récit, l'autre devra le reprendre. Pour la construction de l'hisoire : aucune contrainte, règle ou condition. Elles n'ont que pour seul guide la plume du hasard...
Nous te souhaitons de passer un bon petit moment, d'oublier le monde (parfois si triste) qui nous entoure pour t'abandonner totalement à l'absurde, à la surprise, à l'incompréhension ( oups! euphémisme), au hasard...
N
B:n'hésite pas à nous faire part de tes remarques!!
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#Posté le dimanche 06 août 2006 11:07

Modifié le mardi 29 août 2006 16:55

Chapitre premier (Tolda)

Morfeo souhaite éloigner la solitude de cet instant présent. Il sort de chez lui et ignore l'endroit qu'il s'apprête à rejoindre. Ce matin il a neigé. Le sol est recouvert de cette substance douce et froide qui fond au creux de la main. Un nid de coton cette vie. La neige lui fait alors penser à la mort. La mort vous frappe par surprise un beau jour, pourtant vous y aviez durement pensé. Vous l'appréhender comme on appréhende un temps gris et menaçant. C'est alors que la mort s'abat sur vous comme s'abattent des flocons de neige sur sur le toit de votre maison. Elle fond le jour ou l'instant d'après et on l'oublie. Sauf que la mort est, oui, bien froide, mais on ne l'oublie pas de si tôt. Parfois la mort ne s'oublie jamais, parfois on n'y prête plus attention. Morféo n'a jamais oublié la mort de son frère, pourtant il n'a jamais pensé à la mort de la mère de l'amie de son collègue. Pourquoi est-ce que la mort était elle si différente selon les êtres humains? Parfois, Morfeo se demandait pourquoi est-ce que l'humanité n'était pas, elle, née le meme jour et ne s'était pas effondrée le même jour. Cette idée était illogique pourtant selon lui, l'idéal était de naitre, d'évoluer et de mourir tous ensemble. Il s'était mis à penser une telle idée après la mort de son frère. Si donc, tout le monde naissait et mourrait ensemble, personne ne souffrirait de la mort. Punition ou cadeau du ciel? La mort était différente pour tous pourtant si commune...
Bien que la répugnance physique que pouvait éprouver les hommes à son égard, Morféo ne changeait jamais. Il ne se figurait aucunement dans son esprit de vouloir changer pour autrui. Il était toujours le même, si aimable et généreux, et il en restera ainsi jusqu'à que la mort le frappera.
A
ujourd'hui il portait son jean bleu "classique"qu'il avait acheté à Lyon chez "Discount Jean". Sa corpulence l'handicapait lorsqu'il désirait faire, ne serait-ce qu'un petit éffort physique. Cela faisait d'ailleurs à peine six minutes et demi qu'il déambulait dans les rues de Paris et son front suait comme s'il venait de traverser le Sahara. Puisque l'hiver glacial était roi, Morfeo portait un énorme manteau fourré de laine de mouton. Cela le tenait au chaud et le protégeait de ce froid, mais il avait tellement chaud que la transpiration lui causait une gêne permanente. Morféo avait tout de même trente-six ans et une calvitie bien avancée. Il décidait donc de ne plus se couper les cheveux. Tous les matins il se les attachait et les remarques, il n'eut plus de mal à les encaisser. "Maman, pourquoi le gros monsieur il a une queue de rat?"


FIN
DU CHAPITRE PREMIER

(Illustration :"Beauté" de André Rouillard)
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#Posté le dimanche 06 août 2006 12:05

Modifié le vendredi 01 septembre 2006 11:53

Chapitre 2 (amel)

La mère du garconnet l'empoigna vigoureusement. Morféo n'y préta pas attention, puis pénétra dans le "Café des sports". Il poussa la porte vitrée en faisant insinuer un nuage d'air froid dans le bar. Tout le monde ici connaissait Morféo, Morféo le simple, Morféo le gros, Morféo le solitaire...Mais Morféo était en fait celui dont nul se doutait...Il s'installa sun tabouret face au comptoir, salua mollement le propriétaire qui répondit d'un léger sourire. Le gros lui fit un signe de l'index, l'autre hocha la tête lentement, puis, il tourna le dos et activa une manivelle. Du liquide savonneux sorti d'un mince tuyau argenté. En attendant son café Morféo leva la tête pour voir l'homme qu'il entendait parler si gaiement depuis son entrée.C'était en effet le journaliste favori des francais, Patrick Poivre D'or Dur qui bavait sa rhétorique risible dans le creux des oreilles de milliers de téléspéctateurs. Il présentait les titres: prochaines éléctions du secrétaire général de l'ONU, guerre civile au Moutovale etc.Tant de choses avaient lieu, mais Morféo en était terriblement désinterréssé. Pourtant, tout en observant la cravatte du journaliste, il semblait ailleurs, peut-être révait-il? Les aboiements d'un caniche affreusement sal le sorti de sa torpeur. Il eut un léger sursaut, bien que l'animal semblait ressentir une animosité spécifiquement dirigée contre lui, il ne tenta pas l'éloigner, il le regarda s'exciter un instant , puis se détourna pour prendre le café fraîchement chaud. L'animal fut rapidement rappelé par son propriétaire. Alors que celui-ce se dirigeait vers son maitre, Morféo, après avoir bu une gorgée de café, le suivit du regard jusqu'à son arrivée au pied d'un petit homme, d'une quarantaine d'années à l'allure énérgique parlant au téléphone cellulaire. Il ne cessait de répéter : "Mais bon sang, vous me cherchez? Puisque je vous dit que ce n'est pas le bon numéro!". Morféo, machinalement, reprit son observation de Patrick Poivre d'Or D'ur, l'homme heureux".
"Al
lô?Allô?Personne au bout du fil! se dit-il.Je croyais pourtant avoir fait bonne impression, tant pis!"Frederic mis son portable dans son attaché-case, enfila sa veste Gorgio Armani, prit une dernière gorgée d'orangeade, ferma la porte à clef, puis fila vivement dans les escaliers. Une fois dehors, il s'arrêta un moment pour observer le large tapis blanc qui s'effilait peu à peu sous les pas des passant, se frotta les mains, puis d'un pas décidé, se dirigea vers la bouche de métro.
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#Posté le dimanche 06 août 2006 17:17

Modifié le vendredi 01 septembre 2006 11:58

Chapitre 2 suite (amel)

Frederic était grand, brun, d'une allure sportive, naturellement enjoué, sociable. Il habitait un de ces appartements cossus situé rue du Destin. C'était un de ces jeunes hommes qui brisent les coeurs de femmes comme on piétine les marguerites lorsque l'on se promène dans la fôret, inconsciement, machinalement.Il avait une longue journée devant lui. Frederic en effet était un yuppie, il travaillait dans la publicité et ce secteur avait besion d'un homme comme lui. Tout lui souriait, il ne manquait de rien, et il en avait conscience, c'est ce qui faisait le secret de son bonheur. Frederic faisait également preuve d'une assurance trop étalée. Il était en effet toujours très sûr de lui, de ce qu'il était, de ce qu'il pouvait être. Il avait une assez haute idée de lui meme, reflétée par l'image que lui réfléchissait son entourage. Pour lui la vie n'était qu'un chemin dont l'issue serait...serait...
Avant de s'engoufrer dans le métro, il leva les yeux et aperçu dans le ciel limpide la lune, toute blanche, pleine et majestueuse, que personne ne daignait regarder. Lorsqu'il cessa de l'observer à travers la vitre du bar, Morféo se leva de son tabouret, salua, puis sorti, provoquant de nouveau la création d'un nuage d'air frais. Il se mit les mains dans les poches puis déambula de nouveau pendant près d'une heure dans ce froid glacial, subissant les regards moqueurs ou de pitié des passants. Il pénétra dans un square où il n'y avait pas âme qui vive, personne aux alentours, puis s'asseya lentement sur un banc face à une splendide sculpture qui représentait une femme à demi-nue couverte seulement d'une large étole. Mais Morféo était si blasé qu'il était absolument incapable d'admirer les traits si parfaits de l'oeuvre, la beauté féminine si somptueusement bien représentée. Il observait les pigeons voler, se battre pour une miette. A quoi pensait-il? A des jours où il avait été plus heureux?Où il ne sucitait pas la pitié? où il aimait les autres, le monde, la vie?...la destestait-il d'ailleurs? En Morféo résidait un mystère certain...Mais personne ne cherchait à connaitre cet homme. C'était Morféo le simple, le gros, le solitaire. Il ferma les yeux...
Lorsque la brusquerie du métro, causéee par la vitesse de son cheminement à travers les entrailles de la ville sorti Frédéric de son léger assoupissement, il ouvrit les yeux grands ouverts. Il se décroisa les jambes puis se passa les mains sur la figure. Il déscendit du métro puis monta quatre à quatre les marches de l'escaliers qui lui permettraient de voir la lumière du jour. Il marcha jusqu'a un coin de rue. Personne aux alentours, comme d'habitude. C'était un coin extrèmement calme situé presque à la limite de la ville. De là, il devait traverser la route. Il pensait à cette fille qu'il avait vainement tenté d'appeler une bonne heure avant mais qui lui avait apparement refilé un faux numéro, "la garce." pensa -t-il en ayant un petit sourire. Un coup de klaxon le sorti brusquement de sa pensée. Il se retourna mais c'était trop tard...Dans un crissement de pneus excéssivement percant la voiture s'enfonca dans les ruelles étroites à toute vitesse. Elle disparut bientôt. Frédéric s'affala malgré lui sur l'asphalte en poussant un cri strident. Il était là gisant presque. Au bout d'un instant, ne voyant personne venir à son secours, il tenta de se relever tant bien que mal, il se hissa vers une grille puis s'en aida. Il tourna la tête désespérement à plusieurs reprises afin de trouver un homme qui puisse le secourir. Ses yeux criaient à l'aide. Il suait, paniquait...En se trainant difficilement, il apercut sur un banc, dans un square, un homme énorme, figé devant des pigeons agités, "enfin quelqu'un! se dit-il A l'aide! A l'aide! Monsieur" s'éfforçait-il d'hurler avec souffrance. Mais l'homme que Frédéric voyait de dos ne bougeait pas d'un poil, immobile, comme un mort." Monsieur, aidez moi!" Frédéric ne comprenait pas. Prit de rage contre cet homme indifférent à sa souffrance et emporté par une force qu'il ne se connaissait pas, il se traina terriblement essouflé, jusqu'au banc sur lequel était assis le seul homme qui pouvait l'aider. Il était à un mètre. Il put alors voir un homme d'une masse corporelle impréssionnate, aux cheveux longs et gras, soutenus par un faible élastique. Il posa sa main sur le banc dans un premier temps afin de se soutenir puis se laissa tomber lourdement. Il attendit que son essouflement s'estompa quelque peu pour pouvoir lancer à la figure de cet homme ses reproches. Calmé, il se retourna vers lui "pourquoi avez-vous feinté de ne pas m'avoir entendu?" Il pu alors voir la figure de l'homme. Il avait un front large, un nez potelé, des lèvres fines et grises. Mais ce qui frappa le plus Frédéric, ce n'était pas la puissante odeur d'alcool qu'il dégageait, mais ses grands yeux vides qui fixaient inlassablement les pigeons. "Dites, insista t-il, vous m'écoutez? J'ai la jambe brisée! un automobiliste m'a renversé et n'a même pas pris la peine de s'arrêter! Ce lâche s'est enfuit! emmenez moi à l'hopital!" Le gros se retourna enfin vers Frédéric...

FIN DU CHAPITRE DEUXIEME
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#Posté le dimanche 06 août 2006 17:39

Modifié le vendredi 01 septembre 2006 12:08

Chapitre 3 (Tolda)

Alors! Faites quelque chose merde! Vous ne voyez pas comment je suis?" Mais Morféo ne preta aucunement attention à la belle jambe musclée brisée et en piteuse état. En fait Morféo était hypnotisé par une seule et unique chose: le visage robuste, lisse et si parfait de Frédéric. Ce dernier se lamentait et ne pouvait à peine bouger "je vous en prie, faites quelque chose!" Morféo fixait Frédéric, qui lui fixait sa jambe endolorie. Le gros observa enfin le membre brisé. Puis il se mit à sengloter comme un enfant ayant perdu sa maman. Son visage rubilant et suant se déformait sous les larmes qui coulaient à flot. Ses yeux se plissaient et ses joues s'érigèrent, de son nez une substance jaune et gluante affluait. "Mon Dieu qu'est-ce que c'est que ce type là?" se disait le jeune homme. Tel un enfant, Morféo s'essuya le visage avec la manche de son manteau, quant à sa morve, il l'enleva avec sa langue. Morféo plongea sa main crasseuse dans sa poche et en sorti un bouchon de stylo vert, le bout était machonné, des traces bleus foncés formaient des gribouillis. Le gros s'approcha de Frédéric qui ne fit même plus attention à sa jambe bléssée. Il lui tendit le bouchon, sans dire un mot. "Qu'est- ce que je vais foutre avec !?" Beugla Frédéric. Morféo insista:
-"
C'est un cadeau.
-Quoi? Vous parlez? Je croyais que non..."
Brusquement Morféo souleva Frédéric avec difficulté -ce dernier détenait une masse musculaire étonnante-et il s'enfonca dans les ruelles grises de Paris. "Non, lachez moi! vous me faites mal et nous sommes ridicules! Appelez les pompiers imbécile!"
A cet instant une fille vêtue d'une cape noire passa.
-"Je m'appelle Tol."fit-elle.


FIN DU CHAPITRE TROISIEME
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#Posté le lundi 07 août 2006 13:57

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